Fantasmez, soumises de toutes conditions, ce Maître-là, c’est le mien. Et s’il condescend un soir, à partager son savoir avec votre Maître, vous aurez alors la chance inouïe d’être honorée par son membre, après avoir, bien sur, souffert et supplié...comme il se doit.

N’espérez pas trop, il ne s’occupe que de moi, il m’éduque, il me forme et me déforme à son gré. Il m’a prise tout entière, et depuis lors, je me donne et m’abandonne à ses désirs. Mais la chance vous sourira peut-être...

Une description s’impose. Ne vous y fiez pas, il peut apparaître sous diverses facettes. Néanmoins, voici un Homme debout. Dans le plein épanouissement de sa maturité, il se révèle plus fort et plus endurant que bien des jeunes Maîtres. Sa longue expérience des femmes lui permet de savoir, en quelques instants, ce dont elles ont besoin.

Expert dans l’art d’aimer, il sait les amener au bord de l’évanouissement, de la crise de nerfs, de l’extase, avec sa bouche, ses doigts, sa queue ou sa cravache. C’est sa nature, il le sait, il en use, savamment, pour son plaisir et le nôtre.

Voici comment il a coutume d’accueillir une soumise et son Maître. Fantasmez, mes soeurs de douleurs, et jouissez pleinement, si vous en avez gagné le droit.

Il exigera d’abord qu’elle se présente. Debout, les yeux baissés, les bras bien serrés dans le dos pour faire ressortir ses seins, cambrée, les jambes légèrement écartées. Digne, droite, prête.

Il la regardera et l’effleurera du bout de sa cravache. Il la fera se placer sous la potence et lui menotera les poignets en l’air. Puis il pincera les mamelons de ses seins avec des pinces, il fera de même avec ses lèvres intimes, et, sans hâte, en lui parlant doucement, il saisira son martinet et frappera.

Sans raison, silencieusement, il frappera, sans hésitation. Il dosera les coups pour que la brûlure en soit toujours à la limite de vos limites. A chaque gémissement, il se fera cruel, il jouera avec vos nerfs. Il ôtera les pinces et massera vos mamelons, aiguisant la douleur.

Je vous plains, vous qui ne le connaissez pas comme moi, il vous aura à l’usure et vous hurlerez votre plaisir, comme je hurle le mien.

Mais avant, il vous expliquera que pour repousser ses limites, il faut s’entraîner et que c’est bien pour cela que vous êtes là, après tout !

Juste avant que vous ne sentiez plus du tout vos bras, il vous décrochera et vous ordonnera de vous placer à quatre pattes sur une estrade. Vous aurez à peine le temps de respirer et de sentir les éclairs de douleur dans vos épaules qu’il viendra se placer devant vous en faisant claquer sa voix comme son fouet. « Suce !» Il s’engouffrera lentement dans votre bouche, jusqu’à venir heurter votre larynx. Vous étoufferez, un peu, et il continuera de s’enfoncer, jusqu’à ce que ses bourses cognent sur votre menton. Et ça durera, longtemps. Il baisera votre bouche comme il le fera de votre con peu après. Il ne sortira de votre gorge que pour y loger un bâillon. Il s’occupera ensuite de votre cul, il le massera et y introduira un gode gonflable qu’il dilatera, lentement, sans remords. Il ne se souciera pas de vos yeux exorbités, ni de vos cris assourdis, il vous laissera frissonner de peur avant de vous introduire un gode au fond du ventre, et de prendre la place du gode gonflable dans votre rectum.

C’est alors qu’il demandera à votre maître de vous baiser la bouche et qu’il vous sodomisera profondément. Prise par les trois orifices, vous serez l’objet de leur désir. J’ose croire que vous serez comblée, dans tous les sens du terme !

Si vous avez été docile et silencieuse, il vous fistera et prendra ensuite son plaisir une seconde fois dans votre chatte trempée.

Je ne vous révélerai rien des supplices que vous subirez si vous le revoyez. Cette présentation semble bien banale, pourtant toutes celles qui l’ont vécues s’en souviennent. Moi la première. Ce Maître-là n’est pas comme les autres. Il ne plaisante pas, il ne joue pas. Vous ne jouerez pas non plus. Pour votre plus grand plaisir.

Ginger.